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EN BREF
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Aujourd’hui, l’Institut de recherche pour le développement (IRD) au Sénégal fait face à des enjeux environnementaux en mettant en œuvre un projet axé sur l’évaluation carbone et le suivi des initiatives écologiques. La mission qualité santé sécurité et environnement (MQSSE) a pour but de mesurer et réduire son empreinte carbone pour améliorer les pratiques environnementales. À travers un bilan carbone, l’institut souhaite identifier les sources d’émissions de gaz à effet de serre (GES) et mettre en place des actions concrètes, telles que la sensibilisation des employés, l’installation de systems de tri des déchets et le compostage. Ces démarches s’accompagnent de suivis réguliers afin de garantir l’amélioration continue des performances écologiques. Cette initiative marque un engagement fort de l’IRD vers un développement durable, contribuant ainsi à la protection de l’environnement au Sénégal.
Les enjeux environnementaux prennent une place prépondérante dans le développement des sociétés modernes. Au Sénégal, l’Institut de recherche pour le développement (IRD) s’engage activement à évaluer son empreinte carbone et à suivre des initiatives écologiques au service d’un avenir durable. Cet article explore les diverses actions mises en œuvre par l’IRD pour réduire son impact environnemental, tout en favorisant des pratiques durables au sein de ses opérations. En prenant conscience de la nécessité d’un changement, l’institut vise à sensibiliser son personnel et à instaurer une culture d’engagement en faveur de l’environnement.
Contexte et nécessité de l’évaluation carbone
Face à l’accroissement des activités humaines et à la détérioration de l’environnement, la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) est devenue incontournable. La mission qualité santé sécurité et environnement (MQSSE) de l’IRD au Sénégal a pris l’initiative de réaliser un bilan carbone pour évaluer son empreinte écologique. Ce bilan est essentiel pour identifier les sources principales d’émissions, développer des mesures de réduction et assurer un suivi des efforts entrepris.
Le projet a été lancé dans un contexte où la prise de conscience des enjeux environnementaux est croissante tant au niveau national qu’international. La lutte contre le changement climatique et la préservation des ressources naturelles sont au cœur des préoccupations écologiques. La réalisation de ce bilan carbone représente un premier pas vers l’instauration d’une démarche intégrée en matière de durabilité au sein de l’institut.
Les étapes de l’évaluation carbone
Sensibilisation et implication du personnel
L’une des premières étapes cruciales dans l’évaluation de l’empreinte carbone est la sensibilisation du personnel. Il est essentiel que tous les membres de l’institut comprennent l’importance de réduire les émissions de GES et soient impliqués tout au long du processus. Plusieurs sessions d’information et d’échanges ont été organisées pour présenter le projet et ses objectifs, afin d’inciter une adhésion collective à cette initiative.
Identification des sources d’émissions
La seconde étape consiste à définir le champ d’étude en identifiant les différentes activités de l’IRD susceptibles de générer des émissions de GES. Cela inclut l’évaluation des bâtiments, des déplacements, des consommations d’énergie et des achats. Une période de référence a également été définie pour permettre une évaluation précise des émissions et un suivi sur le long terme.
Collecte et analyse des données
Une fois les sources identifiées, la collecte des données est primordiale. Cette phase implique la rassemblement des informations sur la consommation d’énergie, la gestion des déchets, les déplacements professionnels, et d’autres facteurs. Utiliser des factures, des relevés de compteurs et des registres des déchets permet d’obtenir des données fiables. L’analyse de ces données est essentielle pour établir un bilan carbone précis, permettant ainsi de hiérarchiser les actions à mener.
Exploitation et interprétation des résultats
Après la collecte des données, les résultats doivent être exploités. L’utilisation de facteurs d’émissions adaptés au contexte sénégalais permet de convertir les données en équivalent CO2. Cette étape permet également de répartir les émissions par poste d’activité, d’identifier les postes les plus émetteurs et de déterminer les leviers d’action prioritaires pour réduire l’empreinte carbone de l’institut.
Mise en place d’un plan d’action
Une fois les résultats analysés, il est crucial d’élaborer un plan d’action pour réduire les émissions de GES. Ce plan comprendra des mesures concrètes à mettre en œuvre à court, moyen et long terme, ainsi qu’un programme de suivi et de reporting pour évaluer les progrès réalisés et ajuster les actions si nécessaire.
Suivi des initiatives écologiques
Actions préalables et initiatives en cours
L’IRD, au cours des dernières années, a mis en œuvre plusieurs actions pour diminuer son impact environnemental. Parmi celles-ci, on retrouve :
- Sensibilisation du personnel sur la consommation d’eau et d’électricité
- Installation de bacs de ramassage pour les cartouches et les piles usagées sur tous les sites
- Réduction de la consommation de papier grâce à l’utilisation d’imprimantes centralisées et à l’impression recto-verso par défaut
Le projet d’évaluation carbone mis en place par l’Institut de recherche pour le développement (IRD) au Sénégal représente une étape déterminante dans la prise de conscience environnementale au sein de l’organisation. Cette initiative est perçue comme un tremplin vers des pratiques plus durables, intégrant des actions précises afin de minimiser l’empreinte écologique. Le personnel exprime un sentiment d’enthousiasme et de motivation face à cette démarche visant à favoriser une culture de la durabilité.
Un membre du personnel a partagé son expérience : « Le projet de bilan carbone nous a ouvert les yeux sur l’importance de comprendre les émissions de gaz à effet de serre que nous générons. Nous réalisons maintenant que chaque geste compte, que ce soit la réduction de notre consommation d’eau, ou le tri des déchets. C’est gratifiant de contribuer à un avenir plus vert. »
La participation active des employés est également mise en avant. Un autre témoignage souligne : « En participant aux séances de sensibilisation, j’ai acquis des connaissances sur les enjeux environnementaux et sur la nécessité d’adopter des comportements plus responsables. Cela m’a permis de partager ces informations avec mes proches, amplifiant ainsi notre impact positif sur l’environnement. »
Les efforts effectués, tels que la mise en place de bacs de ramassage pour les déchets et la promotion du compostage, ont suscité un fort soutien parmi les employés. Une responsable environnementale a partagé : « Voir des actions concrètes comme la plantation d’arbres fruitiers ou le compostage sur nos sites est une source de fierté. Cela montre que nous ne nous contentons pas de parler de durabilité, nous agissons réellement. »
Le suivi des initiatives de durabilité et l’évaluation de leur impact représentent aussi une source d’inspiration. Une chercheuse a témoigné : « Chaque action mise en place est suivie et évaluée, ce qui renforce notre engagement. Nous savons que nous sommes sur la bonne voie, et cela nous motive à poursuivre nos efforts pour un futur respectueux de notre planète. »
Enfin, la perspective d’un avenir où ces pratiques écoresponsables pourraient être étendues à d’autres représentations de l’IRD est particulièrement encourageante. Un impliqué dans le projet a conclu : « Imaginer que notre modèle pourrait inspirer d’autres sites dans la sous-région est euphorisant. Cela prouve que prendre soin de l’environnement peut et doit être une priorité partagée. »
